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L’Image est une création pure de l’esprit. Pierre Reverdy |
| | pulsion du moment | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 5 Oct 2004 - 9:55 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 5 Oct 2004 - 10:31 | |
| ce poème de Victor Hugo je le dédie à Salima ! Son fils Alexandre , de 17 ans , a été assassiné dimanche soir par un de ses copains ! Il est resté seul , personne pour le secourir ! Salima tient bon , pense à tes 2 filles qui sont là près de toi ! nous t'embrassons !
A la mère de l'enfant mort Oh! vous aurez trop dit au pauvre petit ange Qu'il est d'autres anges là-haut, Que rien ne souffre au ciel, que jamais rien n'y change, Qu'il est doux d'y rentrer bientôt;
Que le ciel est un dôme aux merveilleux pilastres, Une tente aux riches couleurs, Un jardin bleu rempli de lis qui sont des astres, Et d'étoiles qui sont des fleurs;
Que c'est un lieu joyeux plus qu'on ne saurait dire, Où toujours, se laissant charmer, On a les chérubins pour jouer et pour rire, Et le bon Dieu pour nous aimer;
Qu'il est doux d'être un coeur qui brûle comme un cierge, Et de vivre, en toute saison, Près de l'enfant Jésus et de la sainte Vierge Dans une si belle maison!
Et puis vous n'aurez pas assez dit, pauvre mère, A ce fils si frêle et si doux, Que vous étiez à lui dans cette vie amère, Mais aussi qu'il était à vous;
Que, tant qu'on est petit, la mère sur nous veille, Mais que plus tard on la défend; Et qu'elle aura besoin, quand elle sera vieille, D'un homme qui soit son enfant;
Vous n'aurez point assez dit à cette jeune âme Que Dieu veut qu'on reste ici-bas, La femme guidant l'homme et l'homme aidant la femme, Pour les douleurs et les combats ;
Si bien qu'un jour, ô deuil! irréparable perte! Le doux être s'en est allé !... - Hélas ! vous avez donc laissé la cage ouverte, Que votre oiseau s'est envolé!
Victor Hugo (1802-1885) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mer 6 Oct 2004 - 19:47 | |
| Le Sud Musique: Nino Ferrer
C'est un endroit qui ressemble à la Louisiane A l'Italie Il y a du linge étendu sur la terrasse Et c'est joli
On dirait le Sud Le temps dure longtemps Et la vie sûrement Plus d'un million d'années Et toujours en été.
Il y a plein d'enfants qui se roulent sur la pelouse Il y a plein de chiens Il y a même un chat, une tortue, des poissons rouges Il ne manque rien
On dirait le Sud Le temps dure longtemps Et la vie sûrement Plus d'un million d'années Et toujours en été.
Un jour ou l'autre il faudra qu'il y ait la guerre On le sait bien On n'aime pas ça, mais on ne sait pas quoi faire On dit c'est le destin
Tant pis pour le Sud C'était pourtant bien On aurait pu vivre Plus d'un million d'années |
| | | dany
Nombre de messages : 51473 Age : 76 Localisation : Z'imagenvrac à côté de Zumour Date d'inscription : 26/06/2004
| Sujet: Re: pulsion du moment Jeu 7 Oct 2004 - 14:31 | |
| Jacques Brel Ne me quitte pas
Ne me quitte pas Il faut oublier Tout peut s'oublier Qui s'enfuit déjà Oublier le temps Des malentendus Et le temps perdu A savoir comment Oublier ces heures Qui tuaient parfois A coups de pourquoi Le cœur du bonheur Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
Moi je t'offrirai Des perles de pluie Venues de pays Où il ne pleut pas Je creuserai la terre Jusqu'après ma mort Pour couvrir ton corps D'or et de lumière Je ferai un domaine Où l'amour sera roi Où l'amour sera loi Où tu seras reine Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
Ne me quitte pas Je t'inventerai Des mots insensés Que tu comprendras Je te parlerai De ces amants-là Qui ont vu deux fois Leurs cœurs s'embraser Je te raconterai L'histoire de ce roi Mort de n'avoir pas Pu te rencontrer Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
On a vu souvent Rejaillir le feu D'un ancien volcan Qu'on croyait trop vieux Il est paraît-il Des terres brûlées Donnant plus de blé Qu'un meilleur avril Et quand vient le soir Pour qu'un ciel flamboie Le rouge et le noir Ne s'épousent-ils pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas
Ne me quitte pas Je ne vais plus pleurer Je ne vais plus parler Je me cacherai là A te regarder Danser et sourire Et à t'écouter Chanter et puis rire Laisse-moi devenir L'ombre de ton ombre L'ombre de ta main L'ombre de ton chien Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas Ne me quitte pas.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Jeu 7 Oct 2004 - 20:02 | |
| Johnny Hallyday Que je t'aime
Quand tes cheveux s' étalent Comme un soleil d' été Et que ton oreiller Ressemble aux champs de blé Quand l'ombre et la lumière dessinent sur ton corps Des montagnes des forêts Et des îles aux trésors
Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime, Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !
Quand ta bouche se fait douce Quand ton corps se fait dur Quand le ciel de tes yeux D'un seul coup n'est plus pûr Quand tes mains voudraient bien Quand tes doigts n'osent pas Quand ta pudeur dit non D' une toute petite voix
Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime, Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !
Quand tu n'te sens plus chatte Et que tu deviens chienne Et qu'à l'appel du loup Tu brises enfin tes chaînes Quand ton premier soupir Se finit dans un cri Quand c'est moi qui dis non Quand c'est toi qui dit oui
Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime, Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime !
Quand mon corps sur ton corps Lourd comme un cheval mort Ne sait pas ne sait plus S' il existe encore Quand on a fait l'Amour Comme d'autres font la guerre Quand c'est moi le soldat Qui meurt et qui la perd
Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime, Que je t'aime, que je t'aime, que je t'aime ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Dim 10 Oct 2004 - 11:32 | |
| Francis Martin Tous les jours je pense à toi
Voici les paroles de la chanson que tu cherches Tu sais, tu me manques tellement que tu Tournes et tournes dans ma tête. Je m'sens Si bien dans tes bras, que tous les jours Je pense à toi. Je t'aime, si fort...
Plus je me dis que ce n'est pas important que plus j'y pense et ça devient obsédant cette pensée qui vient toujours me hanter cette idée fixe avec laquelle je coexiste et ce n'est pas pratique et ce n'est pas logique
tous les jours je pense à toi je ne vois que toi et je ne suis jamais seul tous les jours je pense à toi et tu n'es pas là mais je n'suis jamais suel
a chaque fois j'essaie de n'pas y penser et je me dis qu'il faut arrêter mais plus je sais et moins je peux raisonner et plus j'essaie et moins je peux y résister et ce n'est pas pratique
tous les jours je pense à toi je ne vois que toi et je ne suis jamais seul tous les jours je pense à toi et tu n'es pas là mais je n'suis jamais seul tous les jours je pense à toi et c'est comme si tu étais près de moi oh! baby
je suis devenu fou et c'est grâce à toi je peux perdre tout il me reste toi le reste je m'en fou c'est un tic et ce n'est pas pratique et ce n'est pas logique |
| | | Invité Invité
| | | | dany
Nombre de messages : 51473 Age : 76 Localisation : Z'imagenvrac à côté de Zumour Date d'inscription : 26/06/2004
| Sujet: Re: pulsion du moment Lun 11 Oct 2004 - 21:10 | |
| Marie Laforêt Viens sur la montagne Viens viens sur la montagne Tout près du ciel j'ai ma maison Viens viens sur la montagne Là-haut il fait si bon
Pourquoi ces pleurs dans tes yeux Viens avec moi viens Laisse ici ton amour malheureux Viens avec moi viens Viens ma maison n'est pas loin Tout s'oublie je suis là prends ma main Viens viens sur la montagne Là-haut il fait si bon
Si tu rêves de beauté Et de jours sans fin De torrents glissants au cœur des forêts Viens avec moi viens On y voit pas de méchants Mes seuls amis sont Dieu, les fleurs et le vent Viens viens sur la montagne Là-haut il fait si bon
Tes yeux tendres me font voir Qu'à toi seul je tiens Ne sois pas triste il n'est pas trop tard Viens avec moi viens Si tu veux bien prends ma main Laisse moi je connais le chemin Viens viens sur la montagne Là-haut il fait si bon
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 12 Oct 2004 - 9:43 | |
| Isabelle Boulay J'ai mal à l'amour
J'ai peint sur les murs Nos jours enchantés Et sur le plancher S'endorment nos brisures
Ce lieu de nous deux Où nous vivons sans détour J'ai moulé les contours De ton visage heureux
J'ai mal à l'amour J'ai mal dans les yeux Mais si l'on se perd Prends garde aux adieux
Couchée au milieu D'une toile encore fraîche Je vois des couleurs Qui ressemble à ta chair
J'entends sur le toit Des pas qui renversent Des nuages qui déversent Des tableaux de toi
J'ai mal à l'amour J'ai mal dans les yeux Mais si l'on se perd Prends garde aux adieux
J'ai mal à l'amour J'ai mal dans les yeux Mais si l'on se perd Prends garde aux adieux
J'ai mal à l'amour J'ai mal dans les yeux Mais si l'on se perd Prends garde aux adieux Aux adieux Aux Adieux |
| | | dany
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| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 12 Oct 2004 - 18:02 | |
| Elvis Presley
You look like an angel Walk like an angel Talk like an angel But I got wise You're the devil in disguise Oh yes you are The devil in disguise
You fooled me with your kisses You cheated and you schemed Heaven knows how you lied to me You're not the way you seemed
You look like an angel Walk like an angel Talk like an angel But I got wise
You're the devil in disguise Oh yes you are The devil in disguise
I thought that I was in heaven But I was sure surprised Heaven help me, I didn't see The devil in your eyes
You look like an angel Walk like an angel Talk like an angel
But I got wise You're the devil in disguise Oh yes you are The devil in disguise
You're the devil in disguise Oh yes you are The devil in disguise Oh yes you are The devil in disguise | |
| | | dany
Nombre de messages : 51473 Age : 76 Localisation : Z'imagenvrac à côté de Zumour Date d'inscription : 26/06/2004
| Sujet: Re: pulsion du moment Mer 13 Oct 2004 - 20:31 | |
| Georges Brassens Supplique pour être enterré sur une plage de Sète La Camarde qui ne m'a jamais pardonné, D'avoir semé des fleurs dans les trous de son nez, Me poursuit d'un zèle imbécile. Alors cerné de près par les enterrements, J'ai cru bon de remettre à jour mon testament, De me payer un codicille.
Trempe dans l'encre bleue du Golfe du Lion, Trempe, trempe ta plume, ô mon vieux tabellion, Et de ta plus belle écriture, Note ce qu'il faudra qu'il advint de mon corps, Lorsque mon âme et lui ne seront plus d'accord, Que sur un seul point : la rupture.
Quand mon âme aura pris son vol à l'horizon, Vers celle de Gavroche et de Mimi Pinson, Celles des titis, des grisettes. Que vers le sol natal mon corps soit ramené, Dans un sleeping du Paris-Méditerranée, Terminus en gare de Sète.
Mon caveau de famille, hélas ! n'est pas tout neuf, Vulgairement parlant, il est plein comme un œuf, Et d'ici que quelqu'un n'en sorte, Il risque de se faire tard et je ne peux, Dire à ces braves gens : poussez-vous donc un peu, Place aux jeunes en quelque sorte.
Juste au bord de la mer à deux pas des flots bleus, Creusez si c'est possible un petit trou moelleux, Une bonne petite niche. Auprès de mes amis d'enfance, les dauphins, Le long de cette grève où le sable est si fin, Sur la plage de la corniche.
C'est une plage où même à ses moments furieux, Neptune ne se prend jamais trop au sérieux, Où quand un bateau fait naufrage, Le capitaine crie : "Je suis le maître à bord ! Sauve qui peut, le vin et le pastis d'abord, Chacun sa bonbonne et courage".
Et c'est là que jadis à quinze ans révolus, A l'âge où s'amuser tout seul ne suffit plus, Je connus la prime amourette. Auprès d'une sirène, une femme-poisson, Je reçus de l'amour la première leçon, Avalais la première arête.
Déférence gardée envers Paul Valéry, Moi l'humble troubadour sur lui je renchéris, Le bon maître me le pardonne. Et qu'au moins si ses vers valent mieux que les miens, Mon cimetière soit plus marin que le sien, Et n'en déplaise aux autochtones.
Cette tombe en sandwich entre le ciel et l'eau, Ne donnera pas une ombre triste au tableau, Mais un charme indéfinissable. Les baigneuses s'en serviront de paravent, Pour changer de tenue et les petits enfants, Diront : chouette, un château de sable !
Est-ce trop demander : sur mon petit lopin, Planter, je vous en prie une espèce de pin, Pin parasol de préférence. Qui saura prémunir contre l'insolation, Les bons amis venus faire sur ma concession, D'affectueuses révérences.
Tantôt venant d'Espagne et tantôt d'Italie, Tous chargés de parfums, de musiques jolies, Le Mistral et la Tramontane, Sur mon dernier sommeil verseront les échos, De villanelle, un jour, un jour de fandango, De tarentelle, de sardane.
Et quand prenant ma butte en guise d'oreiller, Une ondine viendra gentiment sommeiller, Avec rien que moins de costume, J'en demande pardon par avance à Jésus, Si l'ombre de sa croix s'y couche un peu dessus, Pour un petit bonheur posthume.
Pauvres rois pharaons, pauvre Napoléon, Pauvres grands disparus gisant au Panthéon, Pauvres cendres de conséquence, Vous envierez un peu l'éternel estivant, Qui fait du pédalo sur la vague en rêvant, Qui passe sa mort en vacances.
Vous envierez un peu l'éternel estivant, Qui fait du pédalo sur la plage en rêvant, Qui passe sa mort en vacances...
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Ven 15 Oct 2004 - 19:42 | |
| Mike Brant Laisse-moi t'aimer
Laisse-moi t'aimer toute une nuit Laisse-moi toute une nuit Faire avec toi le plus long le plus beau voyage Oh who who who veux-tu le faire aussi
Une hirondelle fait mon printemps Quand je te vois mon ciel devient plus grand Je prends ta main alors je sens que j'ai pour toi Oh who who who l'amour au bout des doigts
La feuille qui grandit a besoin de lumière Et le poisson meurt sans l'eau de la rivière Aussi vrai que nos corps sont nés de la poussière Toi tu es mon soleil et mon eau vive laisse-moi t'aimer
Rien qu'une nuit laisse-moi rien qu'une nuit Voir dans tes yeux le plus merveilleux paysage Oh who who who oh oui si tu le veux Laisse-moi t'aimer
Laisse-moi t'aimer toute ma vie Laisse-moi laisse-moi t'aimer Faire avec toi le plus grand de tous les voyages Laisse-moi laisse-moi t'aimer t'aimer |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Lun 18 Oct 2004 - 22:42 | |
| BRUXELLES (dick annegarn)
Bruxelles ma belle Je te rejoins bientôt Aussitôt que Paris me trahit Et je sens que son amour aigrit et puis Elle me soupçonne d'être avec toi le soir Je reconnais c'est vrai tous les soirs dans ma tête C'est la fête des anciens combattants d'une guerre Qui est toujours à faire
Bruxelles, attends- moi j'arrive Bientôt je prends la dérive
Michel te rappelles-tu de la détresse de la kermesse De la gare de midi Te rappelles-tu de ta Sophie Qui ne t'avait même pas reconnu Les néons, les Léon, les noms de dieu Sublime décadence la danse des panses, Ministére de la biére artére vers l'enfer Place de Brouckére
Bruxelles, attends- moi j'arrive Bientôt je prends la dérive
Cruel duel celui qui oppose Paris névrose et Bruxelles abrutie Qui se dit que bientôt ce sera fini L'ennui de l'ennui Tu vas me revoir Mademoiselle Bruxelles Mais je ne serai plus tel que tu m'as connu Je serai abattu courbatu, combattu Mais je serai venu
Bruxelles attends, j'arrive Bientôt je prends la dérive
Paris je te laisse mon lit |
| | | dany
Nombre de messages : 51473 Age : 76 Localisation : Z'imagenvrac à côté de Zumour Date d'inscription : 26/06/2004
| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 19 Oct 2004 - 11:40 | |
| Paris Bernard Lavilliers
J'adore le ciel de Paris J'adore cette fille de bandit Qui se balade en guêpière Quand je retourne en enfer
Mon capital de bas noirs Tu changes de fille tous les soirs Et dans les bulles de cristal Me balances les fleurs du mal
Tu me manques terriblement Tu me manques passionnément Tu me manques, c'est fascinant Paris, t'es si belle encore Paris, tu changes de décor Paris, tu ressembles à personne
Ma capitale de douleur Vienne la nuit, sonne l'heure Un rouge baiser, un miroir Tout redevient provisoire
Paris, t'as des yeux gris-bleus T'es plutôt brune à mes yeux Entre Desnos et Prévert Tu choisis Apollinaire
Tu me manques terriblement Tu me manques passionnément Tu me manques, c'est fascinant Paris, t'es si belle encore Paris, tu changes de décor Paris, tu ressembles à personne
Je t'aime, ma fille de faubourg Avec tes chansons d'amour Je t'aime, vipère du trottoir Plumant le micheton dans le noir
Mon ange exterminateur T'es dure avec le malheur Tu fais de cadeaux à personne Et là, Paris, tu déconnes
Tu me manques terriblement Tu me manques passionnément Tu me manques, c'est fascinant Paris, t'es si belle encore Paris, tu changes de décor Paris, tu ressembles à personne
Paris, j'veux pas qu'on t'épouse Reste infidèle et jalouse Paris, tu ressembles à personne
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 19 Oct 2004 - 19:47 | |
| Barbara Du bout des lèvres Paroles et Musique: Barbara 1968 Dites-le-moi du bout des lèvres. Moi, je l'entends du bout du cœur. Moins fort, calmez donc cette fièvre. Oui, j'écoute.
Oh, dites-le-moi doucement. Murmurez-le-moi simplement. Je vous écouterais bien mieux Sans doute
Si vous parlez du bout des lèvres. J'entends très bien du bout du cœur Et je peux continuer mon rêve, Mon rêve.
Que l'amour soit à mon oreille, Doux comme le chant des abeilles, En été, un jour, au soleil, Au soleil.
Regarde, dans le soir qui se penche Là-bas, le voilier qui balance. Qu'elle est jolie, sa voile blanche Qui danse.
Je vous le dis du bout des lèvres : Vous m'agacez du bout du cœur. Vos cris me dérangent, je rêve, Je rêve.
Venez donc me parler d'amour A voix basse, dans ce contre-jour Et faites-moi, je vous en prie, Silence.
Prenons plutôt le soir qui penche, Là-bas, ce voilier qui balance. Qu'elle est jolie, sa voile blanche Qui danse.
Je vous dirai du bout des lèvres : "Je vous aime du bout du cœur." Et nous pourrons vivre mon rêve Mon rêve... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 19 Oct 2004 - 20:05 | |
| Sandy J'ai faim de toi
1 - Après toutes ces années De climats tempérés Où quelques éclaircies Ont oublié la pluie Après ce long désert Traversé en hiver Oh j'ai faim de toi J'ai faim de ton regard Posé sur mon regard De cet air que tu as Quand tu reviens à toi
{Refrain:} J'ai faim de tout c'que tu es Le bon, le mauvais Tu es tout c'qui me plait J'ai faim de tout c'que tu es Je ne peux pas lutter C'est tout c'que je sais Oh j'ai faim de toi.
2 - Je veux vivre de ça De cette boulimie là De cette envie de toi Qui grandit chaque fois.
{Refrain}
J'ai faim de tes "Je t'aime" Jusque dans mon sommeil J'ai faim que de nuits blanches J'ai faim que de dimanches J'ai faim d'passer ma vie Avec toi pour la vie, Oh j'ai faim de toi.
Final Oui,j'ai faim de toi Ouh j'ai faim de toi. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mer 10 Nov 2004 - 15:59 | |
| Indochine J'ai demandé à la lune J’ai demandé à la lune Et le soleil ne le sait pas Je lui ai montré mes brûlures Et la lune s’est moquée de moi Et comme le ciel n’avait pas fière allure Et que je ne guérissais pas Je me suis dit quelle infortune Et la lune s’est moquée de moi
J’ai demandé à la lune Si tu voulais encore de moi Elle m’a dit "j’ai pas l’habitude De m’occuper des cas comme ça" Et toi et moi On était tellement sûr Et on se disait quelques fois Que c’était juste une aventure Et que ça ne durerait pas
Je n’ai pas grand chose à te dire Et pas grand chose pour te faire rire Car j’imagine toujours le pire Et le meilleur me fait souffrir
J’ai demandé à la lune Si tu voulais encore de moi Elle m’a dit "j’ai pas l’habitude De m’occuper des cas comme ça" Et toi et moi On était tellement sûr Et on se disait quelques fois Que c’était juste une aventure Et que ça ne durerait pas |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Jeu 25 Nov 2004 - 22:04 | |
| Natasha St Pier & Pascal Obispo Mourir demain Il y a ceux qui prendraient un avion D'autres qui s'enfermeraient chez eux les yeux fermés Toi, qu'est-ce que tu ferais ? {x2} Il y en a qui voudrait revoir la mer D'autres qui voudraient encore faire l'amour Une dernière fois Toi, tu ferais quoi ? ... et toi, tu ferais quoi ?
Si on devait mourir demain Qu'est-ce qu'on ferait de plus, Qu'est-ce qu'on ferait de moins Si on devait mourir demain Moi, je t'aimerai... moi, je t'aimerai
Il y en a qui referaient leur passé Certains qui voudraient boire et faire la fête Jusqu'au matin D'autres qui prieraient... {x2} Ceux qui s'en fichent et se donneraient du plaisir Et d'autres qui voudraient encore partir Avant la fin Toi, qu'est-ce que tu ferais ? ... et toi, qu'est-ce que tu ferais ?
Si on devait mourir demain Qu'est-ce qu'on ferait de plus Qu'est-ce qu'on ferait de moins Si on devait mourir demain Moi, je t'aimerai... moi, je t'aimerai... Je t'aimerai
Et toi, dis moi, est ce que tu m'aimeras Jusqu'à demain et tous les jours d'après Que rien, non rien, ne s'arrêtera jamais Si on devait mourir demain Moi, je t'aimerai... moi, je t'aimerai Est-ce qu'on ferait du mal, du bien Si on avait jusqu'à demain Pour vivre tout ce qu'on a rêvé Si on devait mourir demain Moi, je t'aimerai... moi, je t'aimerai |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 30 Nov 2004 - 11:39 | |
| Les mots bleus Interprété par Christophe
Il est six heures au clocher de l'église Dans le square les fleurs poétisent Une fille va sortir de la mairie Comme chaque soir je l'attends Elle me sourit Il faudrait que je lui parle A tout prix
Je lui dirai les mots bleus Les mots qu'on dit avec les yeux Parler me semble ridicule Je m'élance et puis je recule Devant une phrase inutile Qui briserait l'instant fragile D'une rencontre D'une rencontre
Je lui dirai les mots bleus Ceux qui rendent les gens heureux Je l'appellerai sans la nommer Je suis peut-être démodé Le vent d'hiver souffle en avril J'aime le silence immobile D'une rencontre D'une rencontre
Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher Dans le square les arbres sont couchés Je reviens par le train de nuit Sur le quai je la vois Qui me sourit Il faudra bien qu'elle comprenne A tout prix
Je lui dirai les mots bleus Les mots qu'on dit avec les yeux Toutes les excuses que l'on donne Sont comme les baisers que l'on vole Il reste une rancœur subtile Qui gâcherait l'instant fragile De nos retrouvailles De nos retrouvailles
Je lui dirai les mots bleus Ceux qui rendent les gens heureux Une histoire d'amour sans paroles N'a pas besoin du protocole Et tous les longs discours futiles Terniraient quelque peu le style De nos retrouvailles De nos retrouvailles
Je lui dirai les mots bleus Ceux qui rendent les gens heureux Je lui dirai tous les mots bleus Tous ceux qui rendent les gens heureux Tous les mots bleus |
| | | dany
Nombre de messages : 51473 Age : 76 Localisation : Z'imagenvrac à côté de Zumour Date d'inscription : 26/06/2004
| | | | dany
Nombre de messages : 51473 Age : 76 Localisation : Z'imagenvrac à côté de Zumour Date d'inscription : 26/06/2004
| Sujet: Re: pulsion du moment Dim 19 Déc 2004 - 22:58 | |
| Michel Sardou Je vais t'aimer
A faire pâlir tous les Marquis de Sade, A faire rougir les putains de la rade, A faire crier grâce à tous les échos, A faire trembler les murs de Jéricho, Je vais t'aimer.
A faire flamber des enfers dans tes yeux, A faire jurer tous les tonnerres de Dieu, A faire dresser tes seins et tous les Saints, A faire prier et supplier nos mains, Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme on ne t'a jamais aimée. Je vais t'aimer Plus loin que tes rêves ont imaginé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme personne n'a osé t'aimer. Je vais t'aimer Comme j'aurai tellement aimé être aimé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
A faire vieillir, à faire blanchir la nuit, A faire brûler la lumière jusqu'au jour, A la passion et jusqu'à la folie, Je vais t'aimer, je vais t'aimer d'amour.
A faire cerner à faire fermer nos yeux, A faire souffrir à faire mourir nos corps, A faire voler nos âmes aux septièmes cieux, A se croire morts et faire l'amour encore, Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme on ne t'a jamais aimée. Je vais t'aimer Plus loin que tes rêves ont imaginé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme personne n'a osé t'aimer. Je vais t'aimer Comme j'aurai tellement aimé être aimé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Sam 1 Jan 2005 - 18:18 | |
| Alain Barrière Emporte-moi
Emporte-moi Que le vent gonfle la voile Et qu'à l'heure des étoiles Nous soyons très loin de tout
Emporte-moi Que le flot berce mes rêves Et qu'à l'heure où tout s'achève Il ne reste rien que nous
Emporte-moi Vers le pays d'un autre monde Où tout n'est qu'amour à la ronde Tout n'est que bonheur et que joie
Emporte-moi N'aie crainte que l'orage ne gronde Dans ce pays d'un nouveau monde Mon cœur ne battra que pour toi, que pour toi
Emporte-moi Que le vent gonfle la voile Et qu'à l'heure des étoiles Il ne reste rien que nous |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: pulsion du moment Mer 5 Jan 2005 - 16:08 | |
| Edith Piaf L'hymne à l'Amour
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer Et la terre peut bien s'écrouler Peu m'importe si tu m'aimes Je me fous du monde entier Tant qu'l'amour inond'ra mes matins Tant que mon corps frémira sous tes mains Peu m'importe les problèmes Mon amour puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde Je me ferais teindre en blonde Si tu me le demandais J'irais décrocher la lune J'irais voler la fortune Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie Je renierais mes amis Si tu me le demandais On peut bien rire de moi Je ferais n'importe quoi Si tu me le demandais
Si un jour la vie t'arrache à moi Si tu meurs que tu sois loin de moi Peu m'importe si tu m'aimes Car moi je mourrais aussi Nous aurons pour nous l'éternité Dans le bleu de toute l'immensité Dans le ciel plus de problèmes Mon amour crois-tu qu'on s'aime Dieu réunit ceux qui s'aiment |
| | | dany
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| Sujet: Re: pulsion du moment Mar 18 Jan 2005 - 11:08 | |
| Joe Dassin Et si tu n'existais pas
Et si tu n'existais pas, Dis-moi pourquoi j'existerais. Pour traîner dans un monde sans toi, Sans espoir et sans regrets.
Et si tu n'existais pas, J'essaierais d'inventer l'amour, Comme un peintre qui voit sous ses doigts Naître les couleurs du jour. Et qui n'en revient pas.
Et si tu n'existais pas, Dis-moi pour qui j'existerais. Des passantes endormies dans mes bras Que je n'aimerais jamais.
Et si tu n'existais pas, Je ne serais qu'un point de plus Dans ce monde qui vient et qui va, Je me sentirais perdu, J'aurais besoin de toi.
Et si tu n'existais pas, Dis-moi comment j'existerais. Je pourrais faire semblant d'être moi, Mais je ne serais pas vrai.
Et si tu n'existais pas, Je crois que je l'aurais trouvé, Le secret de la vie, le pourquoi, Simplement pour te créer Et pour te regarder.
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| Sujet: Re: pulsion du moment | |
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